Notre histoire

  • Soirée communautaire octobre 2010
  • Inauguration le 3 février 2011
  • Spectacle pour la visite de Jean Vanier le 28 mars 2011
  • Visite de Jean Vanier le 28 mars 2011
  • Célébration des un an

L’Arche à Reims est née d’un souhait commun de deux professionnelles du handicap et d’une mère d’une petite fille polyhandicapée d’offrir aux personnes en situation de handicap mental une prise en charge différente où la vie relationnelle, la vie spirituelle sont aussi largement prises en compte.

En 2001, Danièle Gaté, Anne de Vulpillières et Céline Landragin prennent contact avec L’Arche. Après plusieurs rencontres avec différentes communautés de L’Arche, elles décident de fonder une association, convaincues de la nécessité de créer à Reims une communauté de L’Arche.

Le projet de l’Arche a été porté depuis 2003 par l’Association « Mains Ouvertes », qui est devenue « L’Arche à Reims » le 12 juillet 2010. Elle a d'abord créé deux foyers de petite dimension, à caractère familial, et un Service d’Activités de Jour.

Lorsque les premiers assistants arrivent le 13 septembre 2010, l’installation tient du campement pour les assistants et volontaires.

Notre belle aventure commence le 24 septembre, lorsque Jean-Claude GAUTARD passe le premier, le pas de la porte d’un foyer de L’Arche à Reims. Jean-Claude a vécu 45 ans à L’Arche, à Trosly d’abord, puis à L’Arche d’Aigrefoin, où il a travaillé à l’ESAT (Etablissement et service d'aide par le travail) dans les ateliers d’espaces verts. Il a été suivi de près par l'arrivée d'autres personnes accueillies, internes ou externes. 

Au moment de l'inauguration, le 3 février 2011, les foyers et le SAJ étaient au complet. 

Le 28 mars 2011, tous célébraient le baptême des deux foyers, à l’occasion d’une visite de Jean Vanier. Le foyer de la rue de Verdun monte à bord de La Caravelle, ce navire à voiles sans cesse en mouvement, et qui s’adapte selon la direction du vent. Le foyer de la rue de Sacy, en référence à la lumière qui l’inonde de par son exposition ensoleillée et ses grandes baies vitrées, s’appelle désormais Ménorah, ce chandelier à sept branches qui évoque la source intarissable d’une lumière gratuite.

Depuis, il y a eu des départs, des arrivées, des passages, des naissances, des surprises... de la vie!

Le 1er juillet 2017, nous avons eu la joie d'ouvrir un troisième foyer ! Il a été aménagé rue de l'Equerre dans l'ancien foyer des Pères Jésuites et a été baptisé Eneko lors de son inauguration le 16 octobre 2017. Eneko est le prénom basque de naissance d'Ignace de Loyola, fondateur de l'Ordre des Jésuites.